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4 critiques anticapitalistes dans la crise du coronavirus (balade sur les réseaux sociaux…)

Par Jean Fox, fondateur du collectif Altermakers et chargé de cours « Contrer le capitalisme, des critiques aux alternatives ». Temps de lecture estimé: 14 min.

Pour tous ceux qui s’intéressent aux sciences sociales, à l’histoire des idées et à l’opinion, les crises sont des moments passionnants : des moments douloureux, c’est vrai, mais particulièrement féconds, porteurs d’espoir et de renouveau. Les crises éclatent toujours à la croisée des chemins entre un passé connu et dont on ne veut plus, et un avenir inconnu, qu’on voudrait différent et qui est à construire.

La crise du coronavirus permet la diffusion d’idées nouvelles avec peut-être plus de vigueur que les crises du passé et ce, par la conjonction de trois facteurs : d’abord parce que cette crise est vraiment mondiale, ensuite parce qu’elle concerne toutes les composantes de la société, et surtout, parce que les réseaux sociaux, surconsommés en situation de confinement, offrent un terrain d’expression à chaque citoyen.

Les temps sont donc propices à la créativité sous toutes ses formes : production d’idées nouvelles dans les milieux intellectuels, militantisme et combat dans les milieux activistes, prise de conscience dans les milieux économiques et citoyens. Pour les activistes, la crise est même une aubaine car la société, en recherche de solutions et de transformations, est particulièrement à l’écoute des critiques qu’ils formulent et des alternatives qu’ils proposent. Ils ont donc une audience importante et attentive, et finalement, ils peuvent espérer participer à l’émergence d’un nouveau statu quo, celui du fameux « monde d’après ».

Nous sommes donc partis à la rencontre de mouvements activistes sur la toile, dans le contexte de la crise du coronavirus, afin de donner quelques clés de compréhension et de décodage autour des grandes familles de critiques[1] qui s’expriment. Nous nous sommes concentrés sur des critiques qui prennent pour cible le système capitaliste, le monde de l’entreprise au sens large ou encore des entreprises nommément citées.

4 critiques cardinales à l’œuvre

Sur les réseaux sociaux, nous avons repéré quatre grands types de critiques anticapitalistes et anti-entreprises, déjà théorisés[2] puis enrichis[3] par Luc Boltanski et Eve Chiapello : la critique écologiste, la critique sociale, la critique conservatrice et la critique artiste.

Ces critiques, présentées dans le schéma ci-dessous, sont des « idéaux-types » d’arguments critiques plutôt que des catégories fermées. Dans les milieux activistes, elles s’allient les unes aux autres, surtout dans des temps de « convergence des luttes » et ne sont pas exclusives.

La critique écologiste, devenue mainstream… mais encore impuissante.

La critique écologiste (ou environnementale) est tout à fait centrale dans la crise du coronavirus. Il est en effet communément admis que les pandémies modernes trouvent leurs origines dans la déforestation ou encore dans la fonte du pergélisol. En progression continue depuis une trentaine d’années, c’est la critique majeure aujourd’hui, la plus visible.

Cette critique est traversée de deux dimensions :

– Une dimension anthropocentrique[4] d’abord, qui déplore les dérèglements environnementaux pour les dommages qu’ils occasionnent aux vies humaines, par exemple la dégradation de la qualité de vie et de la santé. C’est elle, combinée à une critique sociale, qui s’indigne des risques sanitaires encourus par les travailleurs mal protégés. On peut penser aux attaques contre Amazon ou contre PSA.

« Dans sa soif de profits, le groupe PSA veut redémarrer les usines. Pas pour fabriquer des respirateurs ou des masques, mais pour produire des voitures : 400 000 salariés retournent au travail. »

Les mouvements survivalistes, qui appartiennent à cette première famille, sont très actifs depuis le début de la crise. Ces derniers invitent à réfléchir à une autre politique environnementale. Deux éléments sont mis en avant :

1) le confinement est une aubaine pour l’environnement

« On parle de la catastrophe économique liée au coronavirus mais on ne parle pas assez des conséquences positives sur l’écologie. Ce virus permet à la terre de respirer un peu c’est un mal pour un bien. »

2) la solution aux pandémies est l’écologie et la protection de l’environnement

« Le coronavirus n’est ni la première ni la dernière épidémie à laquelle nous serons confrontés. La solution viendra de l’écologie et de la protection des habitats naturels. »

– Une dimension biocentrique[5] ensuite, qui elle, est antispéciste et prône donc l’égalité entre toutes les espèces du vivant. Les vegans sont la communauté emblématique de cette critique, traditionnellement très active sur les réseaux sociaux.

« Je me souviens quand je suis devenu vegan j’étais tellement naïve, je croyais qu’il allait suffire d’expliquer aux gens que les animaux souffraient et ils feraient quelque chose. Je ne savais pas que les gens étaient inertes, égoïstes et de mauvaise foi »

« En Chine, on noie des serpents dans de l’alcool pour avoir du digestif. On enferme des ours dans des cages pour extraire leur bile. Quand est ce qu’on va prendre au sérieux le bien-être animal et éviter une nouvelle épidémie …? »

La dénonciation de la déforestation et de la destruction des milieux naturels se trouve à la rencontre entre ces deux dimensions, anthropocentrique et biocentrique, et permet donc de mettre tout le monde d’accord.

A citer aussi, une entreprise particulièrement attaquée ces dernières semaines dans les milieux activistes : BlackRock, investisseur dans le pétrole et expert désigné pour accompagner la commission européenne dans l’élaboration d’un plan de finance durable. Dans la critique de l’économie carbonée toujours, plusieurs pétitions circulent pour demander le conditionnement des subventions à la mise en œuvre d’un plan de transition énergétique et climatique. Les milieux activistes s’attaquent par avance à d’éventuels plans de sauvetage de Vallourec (pétrole) ou Air France (aérien).

De toute évidence, la critique écologiste est celle qui a pris le pouvoir idéologique, les milieux capitalistes ayant d’ailleurs déjà commencé à l’apprivoiser et à composer avec elle depuis longtemps.

Dans la crise du moment, elle gagne encore en importance autour cette fois d’une valeur devenue centrale : le care[6] ou en traduction française, l’éthique de la sollicitude. Cette approche, née aux Etats-Unis dans les années 1980, prône un rapport plus humain, empathique et sensible à son prochain et par extension, à la planète.

Alors que cette critique est devenue « mainstream » c’est-à-dire, soutenue par une part très importante du corps social, on peut s’étonner qu’elle n’ait pas encore réussi à prendre le pouvoir. Y parviendra-t-elle un jour ?

Une critique sociale encore revigorée.

La critique sociale est historiquement très importante car elle est apparue dès la naissance du capitalisme pour tenter de le faire tomber. Elle s’indigne de l’oppression des pauvres dans un système consacré à la création de richesses. Longtemps « désarmée » par la société de consommation qui a mis en sommeil les revendications ouvrières, elle a repris de sa vigueur au cours des dernières années : on se souvient du mouvement Nuit Debout, des gilets jaunes, et tout récemment, du long conflit de la réforme des retraites qui a duré du 5 décembre jusqu’au confinement, sans compter celui des hôpitaux.

Depuis le début de la crise du coronavirus, la critique sociale s’est trouvée confortée dans la mesure où les inégalités et les injustices apparaissent aux yeux de tous. C’est elle qui dénonce les bas salaires en général et celui des personnels de santé en particulier, mais aussi celui des caissières, des éboueurs.

« ça commence à me gonfler les patrons de supérette qui n’achètent pas de gants à leurs employés, vous nous mettez en danger. En sortant faire mes courses j’ai dû d’abord aller à la pharmacie racheter une boîte de gants et la donner aux caissières de ma supérette. »

« Pourquoi les caissiers et caissières des grandes et petites surfaces ne sont pas protégés avec des masques, gants? Ils sont pourtant aux premières loges pour attraper le virus. »

Elle dénonce aussi la condition précaire des chauffeurs Uber et des livreurs Deliveroo.

« Est-ce que Deliveroo peut arrêter de m’envoyer des mails ? Je ne mettrai pas en danger des livreurs parce que j’ai envie d’un burger ! »

C’est cette critique sociale qui oppose les plus riches, cadres, qui peuvent travailler confinés dans des maisons agréables, aux travailleurs doivent risquer leur santé pour soigner, transporter les marchandises, vendre de la nourriture, permettre la survie et la reproduction des corps.

Tout comme la critique écologiste, la critique sociale est diverse elle aussi avec deux formes principales :

–         Premièrement, une critique de type marxiste ou étatiste, qui dénonce l’exploitation d’une classe par une autre et en appelle à l’action de l’Etat. On peut relever ici les critiques formulées à l’encontre de la grande distribution pour des augmentations de prix constatées ou supposées, (« Et en même temps, Auchan fait monter les prix et laisse une affluence telle dans ses magasins qu’on ne voit pas la différence avec la période d’avant le confinement. Il y en a qui font des affaires pendant les crises ! ») ou celles qui s’opposent au renflouement par l’Etat des entreprises privées en difficulté, indignées de « la privatisation des gains et la mutualisation des pertes » selon la formule de Michel Aglietta (« Nationaliser les pertes et privatiser les bénéfices ça s’appelle un braquage.»)

–         Deuxièmement, une critique social-libertaire. Elle critique le pouvoir et l’autorité voire l’autoritarisme, ainsi que la technologie qui aliène et tue les libertés. Elle est donc à l’œuvre quand il s’agit de s’indigner contre la surveillance des citoyens, et donc contre l’application de suivi des contacts post-déconfinement.

« J’en ai marre d’entendre l’argument Facebook des pro StopCovid. Avec des données personnelles, une entreprise va faire de l’argent alors qu’un gouvernement va faire du contrôle de population. »

« Le gouvernement travaille sur une application pour mettre la population sous surveillance. Ne tombons pas dans le piège ! Refusons le lancement de l’appli StopCovid qui menace notre vie privée »

Une variante importante de la critique sociale est la critique féministe, qui dénonce l’exploitation des femmes au sein de la société. Les féministes sont très actifs sur les réseaux sociaux pour dénoncer le fait que les femmes exercent plus souvent des métiers nécessaires sous-payés (caissières, infirmières, aides-soignantes…).

L’exacerbation du travail domestique des femmes est également mis en avant, puisqu’elles se trouvent en première ligne pour s’occuper des enfants et s’occuper de l’entretien de la maison et ce, même quand elles travaillent. Les inégalités de genre se trouveraient donc renforcées par le confinement.

« Visiblement les femmes, reconnues comme étant en première ligne dans la lutte contre le coronavirus, restent les absentes des décisions ! Ca ne présage rien de bon pour le « monde d’après ». »

La critique sociale dans son ensemble est aujourd’hui extrêmement forte, comme ce fût le cas au XIXème siècle. Et des réponses lui seront probablement apportées dans le nouveau statu quo qui se prépare. S’agira-t-il d’un compromis transitoire ou durable ?

Opérations « Gel & Masques » : la critique conservatrice en action

Née au XIXème siècle dans la noblesse réactionnaire[7] et nostalgique de l’Ancien Régime, souvent inspirée par la foi religieuse[8]la critique conservatrice défend les valeurs traditionnelles comme la famille, réputées mises en danger par la bourgeoisie et le capitalisme. Elle recherche la concorde civile, par opposition à l’antagonisme de classes, cher à la critique sociale qu’elle a en horreur. Elle milite pour que le pouvoir revienne aux plus vertueux, qui doivent faire œuvre de charité.

Aujourd’hui, les représentants les plus visibles de la critique conservatrice sont les activistes de la fameuse « responsabilité sociale de l’entreprise », concept né aux Etats-Unis dans les années 1920. Ils considèrent que le capitalisme peut et doit être moralisé « par le haut » c’est-à-dire, par ses élites. Le patron est appelé à se comporter en bon père de famille. Les voix les plus audibles de cette cause sont donc les grandes entreprises et les dirigeants eux-mêmes. Emmanuel Faber, PDG de Danone et figure moderne du patron social, a par exemple annoncé lors de cette crise que le groupe n’aurait pas recours au chômage partiel.

Plus largement, la plupart des entreprises du CAC40 ont multiplié dans les dernières semaines les actions de solidarité ou de participation à l’effort de guerre, de production de gel hydroalcoolique, de masques, etc… en cherchant à réaliser des investissements en termes d’image, probablement utiles pour l’avenir.

Il n’en fallait pas plus pour faire réagir les militants de la critique sociale, qui s’empressent de noter qu’elles feraient mieux de payer leurs impôts.

« BNP, Total, LVMH… toutes volent des millions aux budgets de nos hôpitaux: l’évasion fiscale de ces entreprises a un coût humain. Ce vol fiscal détruit nos services publics et nous met tous en danger! PAYEZ VOS IMPOTS ! »

Cette critique conservatrice est donc portée essentiellement par les élites capitalistes elles-mêmes, et a su s’allier avec le temps à la critique écologiste, à travers le retour à la terre et au local ou encore le respect de la vie.

Une critique artiste plutôt faible en soi… mais présente en actes

Cette critique, née à la fin du XIXème siècle[9], a été largement mise à l’honneur pendant et après mai 68[10]. Elle s’insurge contre le vide existentiel du capitalisme, la vulgarité et la bassesse de son projet (le commerce), la négation de l’individu au profit du groupe, ou encore la destruction de toute forme d’authenticité et de liberté intérieure. Elle a joué un rôle important dans l’émergence des mouvements anti-pub et anti-consuméristes[11].

Tout comme la critique conservatrice, elle s’est récemment alliée à la critique écologiste afin de continuer à porter : pour preuve, la recherche du « bonheur au travail » censé prévenir les risques psychosociaux, le « développement personnel » ou encore « l’intelligence collective » en entreprise, un concept inspiré de la nature qui a remplacé cette bonne vieille créativité.

Cette critique montre dans la crise actuelle quelques signes de vitalité, faibles toutefois, à travers :

  • une critique renforcée du système médiatique, par exemple contre le traitement de l’information par BFM TV, C NEWS

« Suffit de pas regarder #boycottBFM ! C’est vous qui parlez de BFM. Informez-vous sur des médias ne faisant pas du sensationnalisme, désinformation, lavage de cerveau »

« Les chaînes d’infos CNEWS BFMTV LCI Politique sont devenues des chaînes de désinformation »

  • ou encore contre TF1, dénoncée pour l’aide qu’elle sollicite auprès de l’Etat.
  • une critique de l’aliénation de l’homme, rendu esclave par le travail et la consommation et qui en oublie de vivre, de penser, de créer surtout en situation de télétravail.

« Elle est vraiment étonnante votre vision de l’Homme. On dirait qu’il n’existe que via la consommation sinon il n’est rien. On dirait que seule l’économie peut le définir alors que vous savez bien que la richesse de l’Être Humain réside dans sa conscience… »

A noter, si cette critique, créative par essence, reste aujourd’hui moins forte que les autres dans les discours militants, elle est bel et bien à l’œuvre pour nous proposer des « alternatives concrètes ici et maintenant » en situation de confinement.

On note sur les réseaux sociaux :

  • une redécouverte des plaisirs simples, authentiques et du « fait maison » avec une explosion des ventes et des conversations autour du bricolage, des travaux manuels, de la cuisine…
  • une reconnexion des individus à leur « vrai moi » à travers par exemple l’engouement pour la méditation.
  • le mouvement des makers est très actif et créatif dans cette crise.

« Un grand merci aux bénévoles du collectif Makers Vendéens qui se sont investis pour fabriquer et livrer 50 visières de protection aux salariés de la Caf de la Vendée. »

« bravo tous les « makers » qui se sont organisés pour produire des visières de protection pour toutes les personnes exposées qui se battent pour nous au quotidien »

On peut émettre l’hypothèse que cette critique, qui ne gagnera pas cette fois-ci, pourrait cependant reprendre de l’importance dans les années qui viennent car, même dans un monde écologiste, l’individu aura toujours besoin de s’exprimer.

Alors, être ou ne pas être anticapitaliste ? Parler ou se taire ?

Depuis plus de 200 ans, le capitalisme n’est pas parvenu à détruire ou à étouffer les critiques qui lui sont faites. C’est la raison pour laquelle il les intègre régulièrement en faisant un effort de transformationC’est précisément ce qui arrive lors d’une crise, pendant lequel les élites elles-mêmes font un effort de remise en cause. Contraintes ou forcées, mais la plupart du temps sincères et touchées par les arguments des mondes activistes, elles appellent des changements de leurs vœux et amendent in fine le système capitaliste pour le rendre plus acceptable. C’est probablement cela qui s’annonce.

Si l’histoire se répète, alors une fois encore, comme lors d’autres crises avant celle-ci, le capitalisme parviendra à se survivre à lui-même en se transformant, grâce aux argumentations anticapitalistes.

Dans ce cas, les anticapitalistes authentiques (qui souhaitent réellement mettre un terme à ce mode de production qu’ils jugent néfaste) devront se poser une question d’importance : doivent-ils continuer à s’exprimer publiquement, au risque de voir leurs critiques récupérées ? Ou vaut-il mieux qu’ils s’en abstiennent et qu’ils trouvent d’autres modes de communication ?

A moins que, cette fois-ci, les citoyens n’en décident autrement et ne congédient le capitalisme pour construire des alternatives concrètes, désirables et durables ?

Affaire à suivre…

Jean Fox.

Vous voulez en savoir plus sur Altermakers ? Rendez-nous visite. 

NOTES

[1] Au-delà des critiques, notre recherche aurait pu porter également sur les alternatives concrètes que les milieux activistes proposent, car elles existent. Cela fera peut-être l’objet d’une prochaine étude et d’un prochain papier ?

[2] Boltanski L. et Chiapello E. (1999)., Le Nouvel Esprit du Capitalisme, Gallimard

[3] Chiapello E. (2013)., Capitalism and its criticisms, chapter 3, in: New spirits of capitalism, Glenn Morgan and Paul du Gay (Eds), 2013, Oxford U.P., pp.60-82

[4] Lire par exemple Hans Jonas, Le principe de responsabilité (1979)

[5] Lire par exemple Arne Naess, Ecologie, communauté et style de vie (1989)

[6] Gilligan, C. (1982). In a different voice: Psychological theory and women’s development. Harvard University Press.

[7] Frédéric Le Play, (1864), La réforme sociale en France

[8] Léon XIII, (1891), encyclique Rerum Novarum

[9] Relire à ce sujet Charles Baudelaire et notamment « La muse vénale », Les fleurs du mal (1857) ou « Le monde va finir… », Fusées (1867).

[10] Marcuse H. (1964)., L’homme unidimensionnel.

[11] Klein N. (2000), No Logo

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